...pour celles dont la machine à laver est en panne ou celles qui voudraient renouer avec la traditionnelle bugade.
Le lavoir de Gayotte, grâce aux pluies de ces derniers temps, est enfin à nouveau opérationnel.
Le ruisseau de la Forge, qui l'alimente, a retrouvé un peu de débit malgré le détournement en amont de son affuent de Casaque vers notre fossé qui est, du coup, plus esthétique avec un filet d'eau sous les mimosas. Je surveille quand-même son niveau et son débit du coin de l'oeil.
J'ai sélectionné, pour la St Valentin, dans mes archives une quinzaine de couples lugosiens "seniors".
Certains et certaines sont malheureusement disparus, certains clichés sont récents d'autres beaucoup moins.
Enfin, un parmi ces couples est complètement bidon à ma connaisance tout au moins; à vous de le retrouver et de mettre des noms sur les autres.
Que ceux qui ne se verront pas m'excusent. C'est que je n'ai pas trouvé de photos valables.
Joyeuse St Valentin à tous.
Le projet, selon cet article du S-O d'hier, semble sur la bonne voie.
-7°C à lugos au petit matin. Celà nous vaut une floraison très éphémère sur les vitres extérieures.
La "crue" de mon fossé, au passage de la duse du chemin menant au Tronc, et le ciel bleu m'ont permis cette photo inédite.
La photo d'hier était recadrée et inversée. Voici l'original et le lieu où elle a été prise pour ceux qui ne connaissent pas le quartier Perron.
En allant faire un tour sur ce site hier pour situer ma photo mystère, je me suis aperçu que Google était repassé l'an dernier au travers des rues du village. De nouvelles rues ont été balayées.
Parmi les nouvelles rues on compte maintenant la rue de la Mairie et ses prolongements vers l'ouest, le Hameau de la Forge filmé sur toutes les coutures ainsi que la rue de la Forge.
L'extension de l'école est visible sur la nouvelle version.
A près la déchetterie, la prise de vues s'arrête au carrefour de la route du Tronc.
Jean de Peyre y a eu droit jusqu'à la maison de Daniel.
On peut même reconnaître Jean-Claude en train de tondre le talus.
Par contre, la rue Bois Perron est omise et je vais déposer une réclamation à laquellle pourront s'assiocier les riverains de Massé oubliée elle aussi.
Je met ces photos pour ceux qui ne sont pas assez "geekisés" pour naviguer sur Google.
Centenaire du début de la bataille de Verdun:
Même si je continue à dire, comme mon grand-père Marius qui n'avait pas du tout apprécié cette boucherie, que cette Der des der reste la honte de l'Europe qu'elle avait affaiblie (avec ses suites nationalistes) pour des décades, je me sens obligé d'avoir une pensée pour lui et ses amis brancardiers (des territoriaux trop âgés pour le combat et les prêtres qu'on ne pouvait obliger, eux, à tuer leur prochain).
Vive l'union Européenne, même si elle pourrait étre plus fédérale, qui nous a préservé de la guerre depuis plus de 70 ans.
Le lézard gardien attendait patiemment les premiers rayons du soleil et surtout la fin du remue-ménage dû au déménagement de la biblio de Séouze pour revenir sur le seuil.
Brigitte et Jean-Pierre s'activent. Samedi 27 sera le dernier jour pour la liquidation. Il y a encore de quoi regarnir votre bibliothèque pour pas cher.
Le spectacle des déferlantes était magnifique. On n'a pas vu de surfeurs en action. Trop dangereux peut-être?
Par-contre, beaucoup de spectateurs sur le trait de côte et la promenade du haut de la dune.
Certains ont fait trempette à leur risques et périls : je me suis fait avoir il y a quelques années et j'y ai laissé un objectif.
Sur la "5ème Avenue", les terrasses affichaient complet.
Côté nord la dune est bien préservée. Pas touche Sandrine!
Pour conclure, on avait l'impression que cet hiver particulièrement clément était déjà derrière nous. Il faisait 15°C.
La "gracieuse et pas bagarreuse" vache bazadaise "Cerise", âgée de huit ans et pesant environ 750 kg, typique du sud de la région Aquitaine, est la mascotte-égérie du Salon de l'Agriculture qui se tiendra à Paris du 27 février au 6 mars.
"Cerise" a grandi à Perquie (Landes), sur l'exploitation d'Angélique et Joël Sillac, éleveurs depuis 26 ans. L'exploitation de 160 hectares compte 160 animaux, dont 60 vaches et une douzaine de boeufs, et elle produit aussi du maïs de semence.
Avec sa robe grise, son mufle clair et ses cornes bicolores bien plantées, "Cerise" est la digne représentante de la race de la vache bazadaise, dont le berceau est Bazas, bourgade dans le sud-est de la Gironde. C'est la première fois que cette race est mise à l'honneur au Salon de l'Agriculture.
Habitué aux grosses vaches normandes ventrues ( photo ci-dessous ) chères à l'ami Eugène Boudin, j'apprécie la sveltesse et l'élégance des vaches de l'Aquitaine. C'est un honneur pour notre région de voir une Bazadaise sur les murs du métro.
Habitué aux grosses vaches normandes ventrues ( photo ci-dessous ) chères à l'ami Eugène Boudin, j'apprécie la sveltesse et l'élégance des vaches de l'Aquitaine. C'est un honneur pour notre région de voir une Bazadaise sur les murs du métro.
Le fermier voisin avait envoyé deux de ses vaches tondre la cour de ma grand-mère de Pierrefiques (près d'Etretat) Photo perso de 1954.
Voici mon post du 29 février 2012. Il est à nouveau d'actualité.
Ne croyez surtout pas tout ce qu'on vous raconte, pensez et réfléchissez par vous-mêmes.
Bonne journée quand-même.
Jusqu'aux années 60, de nombreux habitants de Lugos, qui avaient un peu de terre, avaient une ou plusieurs vaches pour assurer l'alimentation en lait de la famille et du village.
Rosette a posé avec sa propiétaire Louise Téchoueyres (la maman d'Aline), sa benjamine Andrée et les cousins Jacky et sa soeur.
Jacky s'était reconnu sur la photo exposée aux journées du Patrimoine et s'était fait connaître à cette occasion. Il a bien changé. Coucou Jacky, j'espère que tu lis ce blog.
Pour ce qui est de la race, Rosette n'était ni une bazadaise, ni une marine, ni une betizu, ni même une bordelaise bien que sa robe en est proche. Rosette était une "estrangère"à toutes ces races locales. C'était une bretonne.
Qui pourra nous dire de quelle race étaient celles-ci paissant devant le "Château " et la miellerie?
Il n'y a plus depuis les années 50 de fermes à Lugos voir blog du 4 aout 2010 "le fils de Philémon".
Mis à part les moutons de Jean-Alexandre Gibielle à Courlouze, si on veut voir des animaux, il faut aller traîner vers Traoussat où François-Xavier accueille, à la mauvaise saison, des pensionnaires nombreux.
Chevaux et blondes d'Aquitaine font bon ménage.
Un pensionnaire chevalin plus curieux, ou plus cabotin, est venu près de la clôture pour que je lui tire le portrait.
Je n'ai pas osé franchir la clôture car FX m'avait annoncé un taureau qui veillait sur son harem.
En tout cas, ces bestioles semblent privilégiées par rapport à leurs copines des "vacheries industrielles". Celles qui ont du lait élèvent leur veau avec et elles ne viennent pas augmenter la surproduction. C'est peut-être une partie de la solution à la crise agricole.
Puisqu'on est dedans, allons plus loin dans la découverte de nos animaux "lugosiens". Ceux-ci n'ont pas la droit au salon ni à la télé. En fait, mis à part les poules qui peuvent éventuellement finir au pot, on les élève plutôt pour le plaisir.
Les ânes "Dupin", même si leurs braiements s'entendaient au loin, étaient très familiers et appréciés.
Dans les près "d'arribeyre" les oies ont remplacé les ânes.
A Courgeyres, on trouve ces élégants pensionnaires.
Ils servent parfois de monture à d'intrépides cavaliers locaux.
Les pensionnaires de Claudie sont aux Camblancs depuis des années. Ce sont des amis.
Le cheval (ou la jument) de la famille de Jean-Claude est à Casaque.
Le regretté Jean-Pierre s'amusait bien avec ses lapins qui n'avaient rien de garenne.
Les poules sont encore assez nombreuses. Elles sont élévées essentiellement pour les oeufs frais et bio.
Plus sauvages en principe car toutes les photos ci-après ont été prises dans mon jardin excepté le reptile de JP Moritz et l'empuse d' Arlette et Jacques au quartier Perron.
Nos amis les chevreuils étaient omni-présents jusquà l'été; ils se font plus rare maintenant. Monique croit que ses dernières protections l'ont sauvée des prédateurs de ses rosiers; je n'ose pas la détromper.
Les écureuils, qui avaient pourtant niché et élevé toute une portée dans mes pins, se font de plus en plus rares.
Celui-ci appréciait le hamac!
Les hérissons sont aussi en voie de disparition. Celui-ci s'est fait "aplatir" peu après la photo sur la rue Perron où les "passages hérissons" ne sont pas prévus.
Cette magnifique couleuvre traînait ches JP Moritz. Il y a un moment que j'en ai pas vu sur mon terrain.
Celles-là, elles se font rares aussi mais on les regrette pas du tout.
L'empuse, découverte chez Arlette et Jacques, est certainement la plus étrange bestiole du quartier.
A suivre ....
On découvre dans le S-O de ce matin la nouvelle activité de Claude à qui on souhaite bonne chance pour son entreprise.
Je pense qu'André s'est occupé de la pub.
En fait, si vous désirez pédaler dans l'eau, allez voir Claude mais si vous vous voulez simplement pédaler "sous" l'eau : avec les giboulées de ces derniers jours pas besoin d'aller bien loin.
“Les oiseaux, c'est comme l'amour, ça a toujours existé. Toutes les espèces disparaissent, mais pas les oiseaux. Comme l'amour.”
de Marguerite Duras
Extrait de Le Marin de Gibraltar
Puériculture chez les rougequeue
Le Salon de l'agriculture ferme ses portes aujourd'hui et je vais conclure ma série de posts animaliers, qui allaient avec, par les oiseaux.
Je ne suis pas un expert comme Françoise mais, au cours de mes 26 années lugosiennes, j'ai appris à les connaître et les aimer.
Pour vous mettre en appétit, voici une petite vidéo que j'avais réalisée au début de nos années lugosiennes:un couple de rouge-queue était venu établir son nid et élever ses trois oisillons sur notre balcon. J'avais laissé ma caméra en automatique pour ne pas les perturber.
Demain je vous parlerai des autres.
A suivre...
On ne peut pas dire qu'ils soient vraiment lugosiens. Faisans et faisanes débarquent quelques jours avant l'ouverture. Allez savoir pourquoi? Une de leurs caractéristiques c'est que ce sont les seuls volatiles qui ne craignent pas les chats. Je n'ai malheureusement pas dégainé assez vite pour filmer le "dialogue"épique entre le faisan (en haut) et Gribouille.
Le pic-vert vient régulièrement. Il ne trouve pas sa nouritture que dans le tronc des arbres. Je l'apprécie car il aère mon gazon à grands coups de bec. Question couleurs, on ne peut s'empêcher de penser à un perroquet.
Les merles nichent dans la haie et, il m'est arrivé, alerté par leurs cris, d'aller chasser un geai qui les opportunait. A la fin du post vous trouverez une vidéo de ces becquées toujours attendrissantes.
On se demande toujours pourquoi la huppe porte une telle "coiffure".
Ce bébé martin-pêcheur était un peu mal en point après être rentré dans une fenêtre. Nous l'avons emmené au refuge LPO d'Andernos.
Les chardonnerets sont souvent en bandes. Ce sont les plus beaux des petits oiseaux de nos jardins.
Les rouge-queues (je ne sais pas trop le pluriel) ne sont pas sédentaires. Ils ne viennent qu'à la bonne saison pour la reproduction. Ils apprécient les coins de charpente.
Les mésanges sont les plus nombreuses à fréquenter nos jardins. La nichée dans cette grenouille n'était pas une bonne idée:les petits n'ont jamais pu atteindre la sortie.(voir vidéo)
Christiane entretient des relations privilégiées avec les mésanges. Une mère, qui avait des problèmes d'alimentation pour ses petits, l'a suivie dans la maison au travers des fenêtres en battant des ailes pour réclamer de l'aide.
Mes relations privilégiées moi, c'est avec le rouge-gorge. Dès que je sors dans le jardin, il me suit partout.
On les voit peu durant l'été mais, quand c'est le grand départ pour l'hémisphère austral, les hirondelles arrivent de partout.
Grenouillage
Apprentissage
C'était en mars 2014.
On remet le couvert samedi prochain avec le thème des contes "il sera une fois..."
On sera tous à la SDF. (Salle Des Fêtes)
Nous avons retrouvé Arlette et sa fille Danielle pour passer une bonne journée aux Jardins d'Ombeline à Carbon-Blanc.
Nous avons testé la restauration de l'établissement et c'était sympa.
Un petit coin de la grande salle du restaurant est dédiée aux "invités" et le service est stylé.
Nous avons ensuite scrabblé et Christiane a pu faire une démonstration de la pratique du jeu.
Arlette va pour le mieux et devrait revenir passer l'été parmi nous.
Elle a pu suivre la vie lugosienne sur le blog et fait un grand coucou à tous ses amis du village.