Quand la Nationale 10 passait à Lugos.
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Histoire...
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Dali Serfaty
J'apprends dans le S-O d'aujourd'hui que Dali avait rejoint Guy. Dali et Guy étaent des fidèles des "Quatre saisons" et de la belote.
Nous présentons à toute la nombreuse famille toutes nos condoléances.
Une cérémonie aura lieu demain samedi à 16h au cimetière de Lugos.
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Adieu Christine
Je ne suis jamais sorti dans la campagne lugosienne embrumée sans avoir une pensée pour elle et ses petits matins brumeux.
Les Landes perdent une de leur meilleure écrivain.
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Enfin!
Rien sur la "Voie Verte " et sur la ferme photovoltaïque mais une très bonne nouvelle, surtout pour les exilés, l'ouverture, enfin, du site internet Municipal...On se jettera dessus le 21 janvier. Coucou Sandrine!
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Nécrologie
C'est un grand connaisseur de la chasse et de la faune locale qui vient de nous quitter.
Jean Gibielle, qui vivait au pied du pont de la gare, était certainement le dernier "berger" de Lugos.
On m'avait prévenu que ce n'était pas un "rigolo". Pourtant, il m'avait bien reçu lors d'une interview des Journées du Patrimoine (2007)
Il avait des problèmes avec son tracteur mais avait pris le temps de m'expliquer l'introduction récente du cerf dans les Landes.
Les chasseurs seront près de toi pour un dernier adieu demain.
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Bienvenue commune-Lugos
Je suis très heureux de pouvoir enfin avoir des nouvelles des Lugosiens.
Le site est superbe et très complet.
J'ai eu du mal à reconnaître Kassandra ma cover-girl préférée qui a bien grandi.
Coucou à tous.
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Bon pied bon oeil...
Merci Patricia pour ce long article consacréà notre doyen. Je croyais tout savoir sur le sujet mais je m'aperçois que non. Je me permets de transcrire cet article pour ceux qui ne lisent pas S-O Coucou et une pensée pour tous les amis lugosiens d'Aquilugos.
Bassin d’Arcachon : l’ancien maire de Lugos Jean-Paul Salefran a fêté ses 107 ans
Publié le 19/02/2019 à 3h55. Mis à jour à 8h37 par Patricia Droge.
PREMIUM
Né en 1911, Jean-Paul Salefran a étéélu maire de la commune en 1959. Il a raconté sa longue histoire aux enfants du Conseil municipal des jeunes qui lui ont rendu visite
Lugos, plus petite commune de l’arrondissement, compte parmi sa population un administré qui vient de fêter ses 107 ans. Jean-Paul Salefran, né le 1er décembre 1911, n’est pas n’importe qui dans la commune. Il a été soldat et résistant pendant la Seconde Guerre mondiale, mais aussi maire et patron d’une scierie. Retour sur plus d’un siècle de vie et d’histoire.
Son père, Louis Salefran, était exploitant forestier et propriétaire d’une scierie qui fabriquait du parquet, des coffrets et caisses pour le vin, le poisson… Sa mère, Élise, élevait les trois enfants, Jean-Paul, Henri et Antoinette.
À 12 ans, Jean-Paul poursuit sa scolarité au collège Grand-Lebrun à Bordeaux. Baccalauréat en poche, il part en Angleterre, à Cardiff, travailler quelques mois dans une mine à charbon. L’année suivante, il se retrouve à Barcelone. L’année suivante, il devance l’appel et se retrouve en Tunisie pendant un an. De retour en France, il est envoyéà l’école de Saumur, d’où il sort sous-lieutenant.
Trois mandats de maire
Après le service, il revient à Lugos travailler avec son père. Il se marie en 1935, dans les Vosges, d’où est originaire Bernadette, une amie de sa sœur. Ils resteront mariés 72 années.
Au lendemain de la guerre (lire ci-dessous), le 16 août 1945, un terrible incendie ravage la forêt de la région. « C’était une énorme catastrophe ! Il a fallu faire face. » Silence. « Les conséquences économiques ont été terribles. Ça a tué mon père ! Il n’y avait plus de bois. Ou très peu. On a eu du mal à donner du travail aux gens du pays. L’usine a tourné au ralenti. J’ai dû aller travailler à Bordeaux dans une société qui exportait du bois de mines. »
En 1959, à 48 ans, Jean-Paul Salefran est élu maire de Lugos. Comme son père Louis, son grand-père et son arrière-grand-père. Il fera trois mandats. « Les maires, à cette époque, étaient très libres, avec beaucoup de pouvoir. » Il rend hommage à Mme Baleste, « une secrétaire de mairie extraordinaire », décédée à 100 ans. « J’ai voulu mettre en place des infrastructures pour que Lugos garde son aspect rural. J’ai créé des routes, des pistes, programmé une « rocade » tout autour du village. » Le château d’eau, c’est encore lui, comme le lotissement de la Gare de Lugos pour « densifier la population ».
« Ma tête est toujours là »
Jean-Paul Salefran a quatre enfants (Marie-Odile, Anne-Marie, Daniel et Michel), 22 petits-enfants, 97 arrières petits-enfants et deux arrières-arrières petits-enfants, éparpillés dans le monde entier. Son épouse Bernadette est décédée à 94 ans.
Aujourd’hui, À 107 ans, s’il se déplace avec un déambulateur, l’ex-maire assure que sa tête est « toujours là, comme si j’avais 20 ans ».
L’homme porte un regard lucide, voire critique, sur la société d’aujourd’hui : « Le monde a beaucoup changé. J’ai vécu dans un temps, où il n’y avait ni plastique, ni sécurité sociale, retraite, peu de voitures non plus ni d’électricité ou d’eau courante. Tout est arrivé peu à peu. Mais le changement qui m’a le plus marqué, c’est le développement d’Internet qui a transformé le monde. Aujourd’hui, tout le monde sait tout sur nous. La liberté, c’est fini ! Avant on connaissait son voisin, aujourd’hui on connaît le monde entier, mais plus son voisin. »
Il y a quelques jours, les enfants du conseil municipal lui ont rendu une petite visite. Intimidés, Soa Provost, Romane Bonnely, Léonie Tanchoux, Ocelie Pichelin et Liam Cailheton, lui ont parlé de leurs projets : parcours de santé, boîtes à livres, médiathèque, dos-d’âne…
Mobilisé, prisonnier et résistant
En 1939, Jean-Paul Salefran, mobilisé, rejoint le 2e régiment de hussards à Tarbes, au 16e Groupe de reconnaissance de corps d’armée. « Nous sommes partis à la frontière franco-allemande, entre la Sarre et les Ardennes. »
Le 20 juin 1940, il est fait prisonnier par les Allemands, mais profite d’un bombardement pour s’évader et rejoindre les lignes françaises. Trois jours après, le 23 juin 1940, « l’armistice est signé, mais nous combattons encore ». Il poursuit : « On nous a envoyés à Biffontaine, en attendant d’être renvoyés chez nous. Mais je n’avais pas confiance et, avec quelques hommes, nous sommes allés chez mes beaux-parents. Là, on est restés cachés dans leur cave pendant huit jours. Il y avait des Allemands partout. J’ai alors tenté un coup d’audace. Avec mon ami juif, nous sommes allés à la Kommandantur pour demander un laissez-passer pour rentrer chez nous. Nous avons expliqué au commandant que nous étions venus dans la région pour cause de maladie. Il ne voulait pas nous croire. « Vous êtes des hommes jeunes, donc des militaires ! », a-t-il dit. Je lui ai rétorqué que si nous étions des soldats, nous ne serions pas venus lui demander un laissez-passer. Il s’est mis à rire en disant : « C’est juste ! » Il nous a signés les documents demandés. » Les deux hommes sont rentrés chez eux, « à vélo, en quatre jours. Mon ami s’est arrêtéà Clermont-Ferrand chez ses parents et moi j’ai poussé jusqu’à Tarbes où j’ai été démobilisé. »
Blessé dans le Médoc
En août 1940, il est de retour à Lugos. En septembre, il rejoint la Résistance, « parce que la lutte continue ». Avec Marcel Besson et Gérard Douence, ils fondent le groupe franc Hostens-Lugos, sous la houlette du général d’Harcourt et du capitaine Jacquemet. Ce réseau fonctionne normalement jusqu’au 11 novembre 1942, date d’entrée des Allemands en zone libre. Le groupe compte 120 personnes, dont 60 prisonniers marocains évadés par leurs soins.
Le groupe franc participe à la libération de Saucats, La Brède, Léognan, Mérignac et Bordeaux. En novembre 1944, il s’intègre au 16e GR.Dl. sous le nom de 2e escadron. Il participe à la campagne du Médoc de novembre 1944 à mai 1945. Blessé au bras au cours d’une attaque contre les Allemands, en 1945, Jean-Paul Salefran revient à Lugos : « La guerre était finie pour moi. »
Pa. D.
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Lugos aux Jo 2024?
Roxane et Damien, on compte sur vous....
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L'argent du bois....
Pour un Conseil aussi protestataire, le port du gilet jaune s'imposait.
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l'octroi
Mieux que l'argent du bois.
Il faut rétablir l'octroi de mon enfance. Ce n'st pas possible de laisser 450 kg de résine de canabis transiter par la commune sans la moindre retombée fiscale.
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Adieu Michel!
Nous savions, et lui aussi, que son mal était inexorable mais il a lutté jusqu'au bout bien soutenu par Christiane son épouse.
C'était un de mes amis les plus chers à Lugos. Il était né un jour avant moi et nous avions l'habitude de célèbrer nos anniversaires ensemble aux Quatre Saisons.
Très entreprenants, Michel et Christiane avaient mis en culture 120 ha de lande brûlée dès 1972. Ils ne rejoindrons Lugos qu'en 1994 après la cession du cabinet d'asurances. Le domaine a grandi depuis et est exploité maintenant par deux de ses fils François-Xavier et Jean-Michel.
Je ne reviendrai pas sur les détails d'une vie très active qu'il a très bien résumée dans "Blog des deux mondes" auquel vous pouvez accèder via les liens lugosiens de d'Entre Girone et Landes" avec un article très émouvant intitulé"Résumé d'une vie".
Fête patronale à Lugos. Il est avec son fils François- Xavier.
Avec son fils aîné Jean-Michel qui s'est spécialisé dans le gazon pour les stades.
Avec Christiane dans le magnifique jardin bichonné par madame qui entoure leur maison lugosienne.
Toutes nos condoléances à Christiane et à toute la famille.
Les obsèques seront célébrées lundi 1er avril à l'église de Lugos qui sera certainement, une fois de plus, trop petite.
Nous serons avec vous.
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Adieu Monsieur Jean-Paul.
C'est bien lui, ce faire part modeste avec la mention ni fleurs ni couronnes. Pourtant Monsieur Jean-Paul, comme l'appelait familièrement ses anciens administrés, a eu une vie bien remplie. Voir l'aricle que lui a consacré S-O dernièrement que j'avais repris dans ce blog.
Je n'ai pas retrouvé la photo où il faisait du jardinage. C'est dans ce jardinet que nous avions fait connaissance au printemps 1989.
Nous étions alors à la recherche d'un terrain à bâtir. Il nous avait gentiment renseigné sur le terrain d'en face qui appartenait à sa fille aînée. le soir même, à Caudéran, nous faisions affaire.
Nous sommes restés voisins et amis près de trente années.
Jean-Paul et Bernadette nous avaient fait découvrir un haut lieu de la cuisine régionale.
Journées du Patrimoine lugosien de 2009: Nous lui avions dédié un panneau souvenir et il nous a fait l'honneur d'une petiite visite.
Maire de 1959 à 1977, il a laissé le souvenir d'un édile dévoué aux lugosiens.
Nos condoléances à toute la famille et nous penserons à vous mercredi.
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Adieu Jean-Jacques
Décidemment, il y a surtout des mauvaises nouvelles dans le S-O.
Nous sommes bien tristes. Renée et Jean-Jacues étaient des amis de longue date. Nous étions aller leur rendre visite à Enghien pendant que Jean-Jacques était encore en activité.
Jean-Jacques a été longtemps Président le l'association des Amis de St Michel du Vieux Lugo. Il était un ardent défenseur du Patrimoine Lugosien.
Etrange coïncidence? Mon fils Fabrice a découvert, il y a quelques jours, qu'un de ses collègues était d'origine lugosienne côté Lamouly: c'est le petit fils de l'éleveur de porcs. Ils ont parlé de Lugos et... des cousins Jabiol.
Touts nos condoléances à Renée et à toute la famille.
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Patrimoine
Bonne visite et coucou aux Lugosiens.
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Fêtes patronales
Ce sera l'Aid el Kébir en même temps, n'oubliez pasl e mouton. Bonnes fêtes à tous les amis lugosiens.
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Nécrologie
Monique Clatot s'en est allée rejoindre Michel. Nous étions très amis avec ce couple aux origines normandes comme nous. Monique, veuve depuis 2002, avait quitté Lugos en 2013 pour se rapprocher de son fils. Nous étions allés avec Françoise lui rendre visite à Villenave sur Rion (près de Langoiran) en septembre 2013 (photo).
Toutes nos condoléances à sa famille.
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Le petit fils de Guy
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Quartier de Casaque
Casaque : le quartier des artistes de Lugos.
En premier, il y a eu François Didier le sculpteur et le jardin de Monique qui vaut le détour.
Est arrivé ensuite Jean-Louis Manteau qui nous a amené sa troupe théâtrale et surtout sa jument Elda (voir le blog)
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Maintenant c'est Cléménce Bajeux, nouvellement installée qui, avec son livre "Prairie a perdu ses mots", assure la relève.
Je suis fier d'avoir résidé près de 30 ans dans un tel quartier.
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Bonnes nouvelles
Emmanuelle avait ces derniers temps laissé planer le doute...Ouf! les Lugosiens vous aurez une Maire pour un nouveau mandat.
On attend avec impatience la liste des futurs conseillers. S'il n'y a pas, au dernier moment, une liste qui sort du bois, cette campagne devrait être plus calme que la précédente. On va suivre ça de près.
Autre bonne nouvelle; on a prévu enfin de refaire la chaussée de la rue du Bois Perron trop tard pour les émigrés......
EN allanr vers l'ouest, tout le monde roulait à gauche...
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La liste sortie du coin du bois
On ne pourra pas, ce coup-ci, regretter le manque de "lugosité" de la tête de la nouvelle liste.
A moins d'un accord post électoral comme celui qu'en 2001 notre liste (Jack) avait implicitement passé avec le liste de Didier Baillet. Les lendemains de ces municipales vont encore laisser des traces dans la communauté lugosienne.
Ce qui va être intéressant de savoir: c'est où va passer la ligne de fracture de l'actuelle municipalité.
On attend avec impatience les participants de ta liste Corinne.
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